COLONNE DE SAINT JEAN BAPTISTE

L'une des versions de l'origine de cette colonne est de 1564. Il aurait été érigé pour commémorer le fait que le Seigneur de Urdanibia avait brûlé sa maison de Aranzate dans laquelle 300 français séjournaient.

L'historien Serapio Mugica,  dit dans sa «monographie historique de Irun: "bien qu'il n'y ait aucune trace de celui-ci dans un document dans l' Archive municipal  de Irun."

Si elle avait fait ainsi, comme historien local Antonio Aramburu souligne, dans l'un des boucliers qui ornent la colonne devait apparaître le bouclier de Aranzate ou Urdanibia. Un autre argument est que la colonne a été érigée en 1563, près de 90 ans plus tard que le Seigneur de Urdanibia avait mis le feu à sa maison.

Tout porte à croire qu'il y avait d'autres motifs  tout à fait différents. Pendant de nombreuses années les habitant de Irun enduraient l'implacable autorité que Fontarrabie exerçait une  sur eux. Depuis 1499 on commence à observer les premiers signes d'indépendance, alors ils décident d'ériger un monument dominé par l'image de Saint Jean Baptiste.

Cependant les habitants de Irun n'étaient pas «indépendant» jusqu'au 1766, après avoir remporté l'exemption finale de Fonterrabie, au même temps que le titre de ville.
Dans la colonne trois boucliers apparaissent: Austrias,  Guipuzcoa et l'Université de Irun. Il n'y a aucune référence qu'explique la présence de Saint Jean Baptiste dans la colonne, seul le fait que l'arbre de San Juan a présidé la place qui porte désormais son nom.

Un autre fait non représentée cité par Victor Hugo, est que Napoléon lui-même se reposait sur la colonne, tandis que ses troupes allaient ver à l'intérieur d'Éspagne.